Jusqu'à il y a peu à Reims, les occasions de danser n'étaient pas si nombreuses. Et puis The Shoes est arrivé, rappelant la grandeur passée de la ville avec l'EP Stade de Reims et bien plus tard l'album Crack My Bones qui hurlait par tous les pores, It's time to dance. Alors on a fait comme tout le monde, mus par cette irrésistible mélange de pop et d'électro : on a dansé – et on re-dansera le 28 juillet au Chapiteau, jusqu'à s'en donner des ampoules. Ce n'est pas pour rien que ce groupe s'appelle « les chaussures » : il implique d'en changer souvent.
SD