Zarbi ce Zarb


Pour faire simple, parlons de tambour, pour faire érudit disons Tombak mais en fait il est question du Zarb. Quoi de plus envoûtant pour des oreilles occidentales que les mélopées persanes ? Quoi de plus déroutant que ces monodies subtiles et ces rythmes inaccessibles. Bahman Rajabi, maître incontesté du Zarb se produit au CNSMD le 17 janvier à 20h30 et partagera la scène avec Payâm Akhshik au Santour. Dépaysement assuré.


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