La jeune compagnie stéphanoise Sans lettres avait fortement marqué les esprits avec le solo Le dernier qui s'en souvienne parlant de l'inexorabilité de l'oubli. Et le mur fut ma porte mêle danse, théâtre, musique et arts numériques pour aborder cette fois la question de l'altérité et des difficultés à rencontrer l'autre. Un comédien et un danseur enfermés dans deux espaces parallèles étriqués se heurtent au mur de l'incommunicabilité. Mais une brèche se creuse et la porte s'ouvre sur un monde onirique plein de beauté.
Et le mur fut ma porte, Vendredi 11 octobre au Théâtre du Parc à Andrézieux-Bouthéon